Dans les sports de force, il existe des compléments qui peuvent être utiles mais qui ne sont pas indispensables. Cependant, leur consommation joue un rôle très important afin de maintenir la force du sportif et éviter toute sorte de complication lors de l’exercice. Dans cet article, nous allons vous parler de l’importance de ces compléments alimentaire pour sportifs ainsi que les différents types qui existent avec leurs utilisations. Vous êtes un sportif ? Alors continuez à lire ! Vous en aurez sûrement besoin. 

Pourquoi boire des shakes protéinés après l’exercice ?

C’est le complément vedette dans toutes les salles de sport. Beaucoup de gens le prennent pendant ou à la fin de leur entraînement en croyant que cela va augmenter leur masse musculaire. Cependant, comme tout complément, vous devez savoir pourquoi et pour quoi vous le prenez et comment vous vous alimentez au quotidien. Si vous savez déjà que vous en avez besoin et que vous êtes à la recherche du meilleur produit, rendez-vous sur unmondeimagin-art.fr où vous trouverez toutes les informations nécessaires.

Un repas complet après un entraînement de musculation, qui apporte non seulement des protéines mais aussi des glucides, donnera au muscle ce dont il a besoin. En d’autres termes, un shake de protéines de lactosérum n’aura pas plus d’effet qu’un repas équilibré. Cependant, il est vrai qu’il y a des athlètes qui, après une séance de musculation, poursuivent leur entraînement et n’ont pas la possibilité de manger des aliments solides. En effet, ils auraient besoin de les digérer pour continuer à s’entraîner ou parce que leurs besoins énergétiques sont très élevés. Le shake est un bon complément pour couvrir tous leurs besoins.

Un autre aspect à prendre en compte est la fameuse fenêtre métabolique, mais existe-t-elle vraiment et se situe-t-elle uniquement à la fin de la séance d’entraînement et dans l’heure qui suit ? Des études récentes ont montré que ce n’est pas le cas et que jusqu’à plusieurs heures après l’exercice avec un apport correct en protéines, le muscle est sensible à cet apport.

Par ailleurs, la largeur de la fenêtre métabolique dépendra également en grande partie du type de repas pris avant l’entraînement : si ce repas était de qualité nutritionnelle, la fenêtre métabolique post-entraînement sera plus large. Il n’est donc pas indispensable que le premier apport nutritionnel ait lieu dans l’heure qui suit la fin de l’entraînement, mais cela peut être très positif.

Acides aminés à chaîne ramifiée, leucine, isoleucine et valine

Une supplémentation en ces acides aminés pourrait réduire les dommages subis par les fibres musculaires lors d’un exercice intense et retarder la fatigue. Cependant, il existe peu de preuves concernant les avantages qu’ils pourraient apporter si la personne suit déjà un régime alimentaire adéquat.

Créatine

Ce composé est fabriqué par l’organisme à partir de l’arginine, de la glycine et de la méthionine. Les aliments tels que la viande et le poisson fournissent une certaine quantité de créatine. La supplémentation en créatine a montré des effets bénéfiques dans les sports de force et de vitesse. C’est-à-dire dans les exercices de haute intensité, explosifs et de courte durée qui font appel au système énergétique ATP-phosphocréatine et dans lesquels l’objectif est d’augmenter la masse musculaire et de travailler la force. Il peut être pris avant et après l’entraînement.

HMB (hydroxyméthylbutyrate)

C’est un métabolite formé à partir de l’acide aminé leucine. Il améliore la synthèse des protéines, peut aider à augmenter la force. Il peut également améliorer les dommages musculaires qui sont générés dans les activités sportives, principalement celles où il y a une forte charge de travail de la force musculaire.

Autres suppléments

Caféine

Grâce à son effet stimulant sur le système nerveux central, la caféine a un effet positif sur les exercices de longue durée et surtout sur les exercices à 70-80% du VO2max. En raison de ses effets secondaires possibles (nervosité, palpitations, etc.), la dose recommandée est modérée ou faible et la tolérance individuelle de chaque personne doit toujours être évaluée.

Vitamines et minéraux

Il y a des sportifs qui prennent des poly-vitamines sans aucune surveillance médicale professionnelle en pensant qu’elles amélioreront leurs performances ou le fonctionnement de leur système immunitaire. Il faut dire que ces micronutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme sont obtenus naturellement et avec une plus grande biodisponibilité par une alimentation variée et équilibrée et non par des compléments. De plus, un excès de ces compléments peut être négatif et nocif s’il est pris sous contrôle médical, comme dans le cas de la supplémentation en fer.

Probiotiques

Il a été démontré que les athlètes peuvent bénéficier des probiotiques (micro-organismes vivants qui équilibrent le microbiote intestinal) et avoir un impact positif sur leur santé intestinale et donc sur leur santé globale. C’est un élément à prendre en compte, en particulier chez les athlètes d’endurance où il est fréquent que certains d’entre eux souffrent d’inconfort gastro-intestinal et que cela affecte leurs performances. Les aliments probiotiques comprennent, entre autres, le kéfir, le yaourt et la choucroute.

L-carnitine : Pendant de nombreuses années, les suppléments de L-carnitine ont été vendus comme des brûleurs de graisse parce que la L-carnitine (une substance fabriquée par le corps lui-même) favorise l’entrée des acides gras dans les mitochondries des cellules afin qu’ils puissent être oxydés. Cependant, plusieurs études ont montré que le fait d’avoir plus de L-carnitine ne signifie pas que le corps brûlera ou utilisera plus d’acides gras comme substrat. Les suppléments de L-carnitine n’ont donc aucune capacité à brûler les graisses.